Alors que l’épreuve s’apprête à fêter ses 15 ans cette année ( départ de Caen le 15 septembre) on se replonge dans l’atmosphère unique de ce rendez-vous et l’on prend des ondes positives pour cette nouvelle année : retour sur l’édition 2023 et réactions en juin de l’année dernière au gré des itw, pages FB, messages…Une aventure toujours aussi forte.
Axel Trehin (PROJECT RESCUE OCEAN): » Sportivement, c’est une régate exceptionnelle, et ce n’est pas un hasard si nous sommes autant de compétiteurs à nous y défier chaque année. Au grand jeu de celui qui fera le moins de boulettes, la CIC NCR n’en supporte décidément que très peu, et on l’a encore constaté sur cette 14ème édition. Quel bonheur, en tant que marin, de devoir autant élever son jeu pour en être à la hauteur ! Mais ce qui rend cette course si belle, c’est aussi l’ambiance qui règne tout au long de l’événement et tous les visages qui l’incarnent et en font une si joyeuse fête, à terre comme en mer. C’est en tous cas la course au large comme je les aime, et que j’espère voir encore gagner en notoriété à l’avenir auprès du grand public. Longue vie donc à la NCR, déjà hâte de venir pour une cinquième consécutive (à quand la carte d’abonnement ?) »
Tiphaine Ragueneau (CAP POUR ELLES): » INTENSITÉ est le mot qui décrit le mieux cette course. Que ce soit par son rythme, son niveau, le vent que nous avons eu, les émotions qui nous ont traversé ou encore même la préparation de cette course. Tout a été simplement intense. Course des « grandes premières » : première en class40, premier passage dans le Solent, premier Fastnet, première navigation en mer d’Irlande… Je suis très heureuse d’avoir fini cette course malgré tous nos deboires et d’avoir su travailler en accord avec Pam sur ce beau parcours. »
Pierre-Louis Attwell ( VOGUE AVEC UN CROHN) : « La CIC Normandy Channel Race est un rendez-vous incontournable du circuit Class40. Depuis que nous avons commencé le Class40 en 2019 nous n’avons pas manqué́ une seule édition. »
Pietro Luciani et Hugo Picard (DÉKUPLE): « La CIC Normandy Channel Race et surtout son parcours est un terrain de jeux assez extraordinaire. Nous avons tous les deux participé à cette course plusieurs fois mais ce n’est jamais la même chose et c’est ce qui en fait une course passionnante.Il faut jouer sans cesse avec les courants, les bascules de vents et la côte.On a encore de la marge de progression et c’est ce genre d’événement qui permet de nous amener plus haut. »
Alberto Bona (IBSA) :« Elle a été immédiatement définie comme la régate la plus difficile du programme 2023 et n’a pas déçu les attentes. Changements de vent, courants contraires, sacs coincés dans la quille, détachements et récupérations : la CIC Normandy Channel Race d’Alberto Bona a été une course dont on se souvient et que l’on raconte. »
Ian Lipinski( CREDIT MUTUEL) : « Cette CIC Normandy Channel Race est devenue un événement attendu dans une saison de Class40. La complexité du parcours et ses contraintes sont réellement propices à des scénarios incroyables. «
Aurélien Ducroz (CROSSCALL) : » La CIC Normandy Channel Race est une course incroyable, de complexité et d’engagement. »
Yoann Richomme:( QUEGUINER – INNOVEO – 2022) : « C’est l’une des épreuves phares du circuit Class40 et une course particulièrement disputée. Entre les courants de la Manche, le Solent, la mer d’Irlande et le retour du Fastnet, ça mêle parcours côtiers et océaniques. On apprend beaucoup parce qu’on est toujours au contact. Cela donne de nombreuses indications sur la façon de mener ces bateaux très physiques et très intenses. »
Claire-Victoire de Fleurian ( LE BLEUET DE FRANCE): « C’est une course qui nous terrifiait.Nous avons terminé cette course que nous redoutions tant ! Elle est réputée très difficile. On part de Caen, on traverse la Manche et le Solent, Land’s End, le phare de Tuskar, le Fastnet et on redescend les îles Anglo-Normandes. Ce sont des zones avec du courant, des cailloux, du trafic. 1 000 milles de course, ce n’est pas rien ! Charlotte Cormouls-Houlès ( LE BLEUET DE FRANCE): On nous avait dit que si on réussissait cette course, la Jacques Vabre serait « facile », car nous allions faire plus de manœuvres en une semaine qu’en trois semaines de transatlantique. »
Brian Thompson (TQUILA) : » Merci pour cet événement sportif fantastique et pour l’ambiance conviviale – à l’année prochaine! »
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